Symboles, géométrie sacrée, ondes de forme et archétypes
Voilà un très vaste sujet, beaucoup plus que celui des couleurs – pourtant déjà assez riche. Couvrir l’éventail de tout ce qui possède une forme exigerait un long travail de recherche et d’analyse justifiant un ouvrage spécialisé des ouvrages spécialisés ! Peut-être un jour ?
D’ici cette hypothétique concrétisation, une vidéo permettrait de faire un peu le ménage parmi les différentes catégories de formes et leur nature.
Possiblement un jour, s’il y a une demande suffisante pour justifier la tâche ?!
Voyons rapidement la question pour donner une idée du sujet et de l’intérêt de l’approfondir.
La matière est composée de particules. Restons au niveau atomique, et même moléculaire (une molécule étant composée d’atomes). Les molécules s’attirent et se repoussent, et selon les conditions de leur environnement, elles forment une … forme. L’eau, composée de molécules H2O, est informe (sans forme) à température élevée (vapeur au-delà de 100°c au niveau de pression normal de l’air). Elle reste informe entre 0 et 100° – mais sous forme liquide, et elle devient structure cristalline en température négative – ce qui peut donner des cristaux de glace très intéressant suivant certaines conditions.
La géométrie des formes
Les formes peuvent être libres (comme un gribouillis), ou géométriques (au sens d’être structurées par des objets et des relations mathématiques présentant une cohérence). A priori, seules les formes géométriques présentent un intérêt, mais sans doute est-ce parce qu’analyser l’émission d’ondes d’un truc qui ne ressemble à rien dépasse complètement nos capacités. C’est déjà bien compliqué de le faire avec des formes assez simples, et vous allez comprendre pourquoi si vous avez le courage de lire cet article en entier !
La première chose à retenir est qu’une structure moléculaire cristalline émet un rayonnement, ce rayonnement pouvant être remarquable selon plusieurs facteurs.
La géométrie elle-même : un cercle, un carré, un octogone, … mais aussi une rosace comme la fleur de vie, un yin-yang = des formes dites régulières et symétriques.
Mais aussi des formes asymétriques beaucoup plus nombreuses, soit partiellement symétriques comme un triskèle (pouvant être tourné à droite = dextrogyre, ou à gauche = lévogyre), un nœud sans fin (presque symétrique), soit totalement asymétrique : à peu près tout le reste !
La notion de symétrie est essentielle et nous emmènerait trop loin : un rapide coup d’œil en donnera une étendue en allant voir du côté de la symétrie moléculaire (cœurs sensibles s’abstenir !).
Pas de panique si vous avez fait un saut sur la page Wikipédia, nous n’irons pas sur le terrain de la physique et des mathématiques avec plein de trucs illisibles !
La géométrie elle-même joue aussi un rôle : ah oui, je l’ai déjà dit, mais nous étions restés dans deux dimensions ! Évidemment, le gros du morceau qui nous intéresse est dans l’univers à 3 dimensions. Car à part les Égyptiens de l’Antiquité qui se promènent de profil dans un plan XY, les humains que nous sommes vivons dans 3 dimensions. Enfin plutôt 4, et peut-être même davantage, mais restons dans un volume en 3D, c’est déjà assez compliqué comme ça !
Donc en 3 dimensions, cette géométrie concerne deux grandes catégories.
a) La catégorie précédente 1/= les formes en 2 dimensions. Eh oui, d’une forme en 2D peuvent être tirées des formes en 3D. Une vidéo permettrait d’illustrer cela plus facilement. Un cercle étiré verticalement donne un cylindre. Même une croix de Malte dessinée, gravée dans la matière, donne une croix de Malte en 3D à laquelle on n’a pas donné de nom mais qui est différente de la croix de Malte en 2D – tout comme le cylindre n’est pas un cercle.
On commence là à toucher du doigt un monde inconnu et à vrai dire peu exploré : la différence entre les formes en 2D et leurs versions hybrides en 3D. Voire en 4D… Stop ! Pas de 4 dimensions avant d’avoir fait le tour des 3 premières – ce qui devrait nous amener en l’an 2850 !
b) Où en est-on déjà ? Aux formes en 3D – qu’on peut toujours représenter partiellement en 2D en faisant une coupe, mais dont la coupe – donc la représentation 2D, ressemble plus ou moins à quelque chose selon la structure considérée et le plan de coupe. Parmi les formes 3D remarquables et simples, citons le tétraèdre, la pyramide, la bobine (qui ne ressemble à rien si on fait une coupe en 2D), … Arrêtons-nous ici, une longue explication serait nécessaire pour expliciter ces points.
Si vous n’avez pas décroché au paragraphe précédent, résumons.
Nous sommes entourés de formes
a) soit dessinées / imprimées / affichées (sur un écran par exemple) = en 2 dimensions
b) soit en 3 dimensions = en relief ; soit un objet de forme quelconque, soit une forme 2D “élevée” à la 3ème dimension (gravée, extrudée, …).
La deuxième chose à retenir dans le 2ème cas précédent, c’est qu’une forme ne donne pas du tout le même rayonnement si elle est en 2 dimensions ou en 3 dimensions.
Il est primordial de les distinguer, une forme en 2D et sa version 3D sont différentes : une fleur de vie imprimée n’a pas la vibration d’une fleur de vie gravée.
Comme si ça ne suffisait pas, la couleur de la forme, ses proportions et sa taille (ce n’est pas la même chose), et son environnement sont autant de facteurs qui modifient l’onde émise. Parfois de façon infime et négligeable, parfois de façon radicale. Et même de façon pas nécessairement linéaire.
Je vous parle chinois ? Un peu j’imagine, il faudrait au minimum plusieurs chapitres par paragraphe ! Pour vous donner un exemple, les illusions d’optique illustrent la grande différence de perception humaine d’une même forme selon les couleurs utilisées, les dimensions, les associations de formes et de couleurs. Ça va parle ?
Promis, en vidéo, ou plutôt plusieurs vidéos, ce sera plus facile à comprendre !
Comme cela va devenir indigeste, je n’approfondis pas davantage ici et je passe à la suite. Vous pouvez poser des questions en commentaires.
Des formes aux symboles
Qu’appelle-t-on symbole du coup ? Un symbole est une forme piquée dans la loooooongue liste – en réalité infinie – expliquée sommairement dans le chapitre précédent. Un humain sans doute un peu plus inspiré que la moyenne a, un jour, soit par intuition / voie divine / hasard complet, soit par analyse plus ou moins consciente d’un effet vibratoire, attribué une fonction à une forme. Prenons un exemple : un pape a établi que la forme qui représente une croix symboliserait le Christ (crucifié). La forme de la croix – dont la branche inférieure est plus longue que les 3 autres – est devenue un symbole chrétien.
Des symboles à la géométrie sacrée
Si on fait une recherche sur internet, on trouve un peu tout et n’importe quoi en géométrie sacrée… y compris des symboles dénaturés qui n’ont plus rien de sacré et plus grand chose de symbolique ! A croire que beaucoup considèrent la géométrie sacrée comme du folklore approximatif où tout est permis tant que la bière est fraîche ! Plus sérieusement, et à leur décharge, le concept est sujet à interprétation, puisque :
1/ Géométrie : comme vu plus haut et si vous avez réussi à suivre un peu, la géométrie des formes est variée. Bien que ce soit réducteur, et afin que ce soit plus facile à appréhender, je restreins la géométrie sacrée à la géométrie symétrique – au moins sur une transformation (symétrie miroir verticale et/ou horizontale, symétrie de rotation 90° et/ou 180°). Ainsi, cela laisse un champ assez vaste tout en évitant la foire.
Ainsi, parmi deux hiéroglyphes emblématiques que sont l’œil d’Horus et la croix d’Ankh, seule la croix relève de la géométrie sacrée.
Bah alors, et ce superbe symbole de protection qu’est l’oudjat ? Patience !
2/ Sacré : étymologiquement, ce qui l’est est associé au divin. C’est un peu vague, est-ce que le logo de la Scientologie appartient à la géométrie sacrée ? A mon sens non. Définir ainsi ce qui relève de la géométrie sacrée est arbitraire. Tout le moins est-ce discutable, les adeptes de sectes de toutes sortes revendiquent généralement le droit d’être considérés comme des croyants d’une religion respectable. Du reste, on massacre depuis toujours et encore aujourd’hui en se disant fidèles serviteurs de Dieu…
On fait quoi du coup avec cette géométrie sacrée ? Une pause !!!! Je vous invite à en discuter et à reprendre la réflexion avec les archétypes (ci-dessous).
Mais puisqu’il ne fallait pas oublier l’oudjat, c’est un 1/symbole 2/sacré (car “con-sacré”, “con” = “avec”, selon son étymologie et non ses autres sens…).
Peut-être pourrait-on le faire rentrer dans la catégorie de la géométrie sacrée en respectant des règles géométriques, je sais que certains ont fouillé ce sujet.
Le sphinx est un autre symbole qui, lui, est purement géométrique si on en choisit la bonne architecture.
C’est ce qui pourrait expliquer la précision délirante de certaines structures antiques, telles que la pyramide de Gizeh ou la grotte de Barabar.
C’est aussi ce que pourrait avoir étudié Nikola Tesla.
La complexité qui émerge de ce qui vient d’être présenté en dit long sur les difficultés qui attendent le chercheur qui voudrait exploiter des forces vibratoires. Un simple anneau de Lakhovsky émet un champ, une bobine faiblement alimentée par une pile permet de produire un plasma – ces sujets dépassent le cadre de Luciade mais je les aborderais par analogie avec des ondes de formes. On peut imaginer qu’une combinaison précise de formes / symboles, aux proportions et dimensions précises, amplifiée par une onde du spectre lumineux (voire autre, du domaine sonore par exemple), et – cerise sur le gâteau – connectée à un archétype, peut produire un champ d’énergie. Science fiction totale… comme l’était le cinéma ou la télévision au 17ème siècle !
Les archétypes, justement, c’est quoi ?
Et non, ce n’était pas fini… on attaque même le plus compliqué, c’est pour dire si on est mal barré !!
Je ne vais pas tout laisser en plan en vous invitant à lire (ou relire) C.G Jung, bien qu’il ne sera pas possible ici de passer en revue ce vaste domaine.
Les archétypes, dans la pensée de Jung, représentent ces formes primordiales qui résident dans l’inconscient collectif, partagées par toute l’humanité, transcendant les cultures et les époques. Ils sont le fondement même des symboles, émergeant comme des motifs universels qui structurent nos mythes, nos rêves, et nos récits. Contrairement aux formes et symboles, qui peuvent varier d’une culture à l’autre, les archétypes sont des constantes psychiques, des dynamiques innées qui influencent notre comportement et notre perception du monde.
Prenons l’exemple de l’archétype de la Grande Mère, présent dans d’innombrables cultures sous différentes formes : Gaïa dans la mythologie grecque, Parvati dans l’hindouisme, ou encore la Vierge Marie dans le christianisme. Bien que ces figures diffèrent en apparence et en symbolisme, elles partagent une essence commune qui évoque – selon le plan considéré – le pôle féminin (métaphysique), la protection (physique et paraphysique), la nourriture (physique)… illustrant comment un même archétype peut se manifester à travers divers symboles eux-mêmes archétypes ou non, géométriques ou non.
Cette idée nous conduit à une révélation essentielle : si toutes les formes ne sont pas des symboles, et si tous les archétypes ne sont pas des symboles (au sens de forme émettant une vibration spécifique), alors les archétypes eux-mêmes transcendent la symbolique pour toucher à l’universel. Ils ne sont pas simplement des images ou des idées, mais des forces vivantes qui façonnent notre expérience humaine, nous connectant à des vérités profondes sur notre existence et notre psyché collective.
Parallèlement aux symboles géométriques, sacrés ou non, présentés dans la première partie, les archétypes qui se représentent par un ou plusieurs symboles (en 2 ou 3 dimensions) nous intéresseront aussi sur Luciade. Ils ouvrent la porte aux champs morphiques, domaine sortant de la physique classique mais qui la rejoindra peut-être un jour.
Un exemple à explorer ? Le Tarot. Les 22 lames, elles-mêmes composées de nombreux symboles plus ou moins complexes, permettent de connecter (ou se connecter à) une fréquence archétypale qui peut avoir une utilité selon la personne, le lieu (espace) et le moment (temps).
Conclusion ?
Ça y est, enfin c’est terminé !! L’équivalent d’un traité de 600 pages en quelques 120 lignes, ce n’est pas très digeste…
D’après ce qui a été exposé, vos commentaires seront utiles pour orienter les futurs exposés que je tacherai de faire plutôt sous forme de vidéos.
A vos claviers, et merci de partager autour de vous !
Ci-dessous sont publiés des articles sur les symboles, formes géométriques, objets à rayonnement, théories de champs et outils utilisables à la maison… tout un programme !
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2 réponses à “Page Catégorie symboles”
Msieur, en visite chez Luciade, j’ai parcouru quelques couleurs, quelques écrits, et ai surfé sur l’énergie positive. qualité des photos, bravo votre œil et zoom sont avertis. Et je vois que le site a été ouvert la veille de la St Valentin, j’espère que les amoureux ont été attirés et ont passé commande le lendemain. Quelques ratures restent ici sur cette page, j’imagine que c’est avant relecture. Et hop je retourne prendre l’air des montagnes du Jura cette fin de semaine. Bon vent à Luciade là où l’air circule!
A.Merci et félicitations pour avoir inauguré cet espace d’échanges ! Les zamoureux étaient peu nombreux pour cette Saint-Valentin millésime 2024 : la prochaine de 2025 leur proposera un bijou surprenant aux allures quantiques… Il y a encore du travail pour aboutir à la version finalisée, mieux organisée et moins indigeste que ces longues présentations denses en informations. Le format vidéo doublé d’une transcription écrite pour les adeptes de la lecture sera mis à l’honneur ici. Profitez bien des hautes vibrations de la nature jurassienne ! A bientôt !
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